Organisé par les Jeunes Insoumis·es Brest, MJCF Finistère et CNT Interpro-Brest
LE 16 MARS, LES JEUNES SE MOBILISENT POUR LEUR AVENIR ! 

Le 16 mars, plusieurs organisations étudiantes et de jeunesse appellent à se mobiliser à Brest pour la mise en place de mesures fortes pour la jeunesse afin de ne pas être la « génération sacrifiée » !

Malgré la situation inédite le gouvernement s’obstine à ne pas prendre la situation des jeunes au sérieux et préfère lancer des polémiques stériles et dangereuses sur « l’islamo-gauchisme »…
Sur le marché de l’emploi, les seuls possibilités sont le chômage ou la précarité. Cette situation a été
tragiquement mise en lumière et les mobilisations déjà impulsées par nos organisations ont obligé legouvernement à réagir mais ces mesures restent insuffisantes voire inapplicables.
tragiquement mise en lumière et les mobilisations déjà impulsées par nos organisations ont obligé legouvernement à réagir mais ces mesures restent insuffisantes voire inapplicables.
Nous ne pouvons-nous contenter de demi-mesures : il y a urgence. Les solutions nous les avons et nous les ferons entendre partout ce 16 mars.
Urgence d’abord pour l’éducation : un plan massif contre la précarité étudiante d’au moins 1,5 milliards, l’augmentation des bourses pour aller vers un revenu étudiant, les moyens pour permettre une vraie réouverture des universités dans l’enseignement supérieur.
L’urgence est aussi à l’embauche de personnels dans l’éducation à tous les niveaux pour rattraper le retard. Déjà décrié les années précédentes, il est encore plus urgent de supprimer Parcoursup.
Urgence aussi pour les jeunes en insertion professionnelle : alors que l’hôpital, l’éducation et les transports manquent de personnels, des milliers de jeunes attendent un emploi, embauchons-les et pré-embauchons les.
Il est inacceptable de voir le Gouvernement accorder des milliards d’euros à certaines grandes entreprises, sans contreparties sociales et écologiques, alors que les jeunes ne peuvent toujours pas bénéficier du RSA avant 25 ans, les 2/3 des français sont d’ailleurs favorables à cette mesure.
