Magdo guilers hier soir du jamais vu
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Gilets Jaunes Rungis IDF
La ligne 13 ce matin 
Réouverture des écoles : le choix du gouvernement est bien en désaccord avec le conseil scientifique-LEMONDE.FR
Gilets Jaunes Rungis IDF
Quel spectacle gênant et lamentable …
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Reprise du travail: les employeurs veulent une loi contre le risque pénal-LES ÉCHOS
Colère 44
Piotrovski Photography
Aujourd’hui sur la Grande Place de #Lille une personne âgée était assise sur la fontaine mais ce n’était pas du goûts des motards de la Police qui le maîtrise violemment alors que lui ne l’était pas
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Gilets Jaunes Rungis IDF
Hier à NOISY LE GRAND au Pavés neuf

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Romain, mort en cellule à Saint Denis dans la nuit du 1er mai 2020-DÉSARMONS-LES
Nantes Révoltée
« STOPCOVID » : UN BRACELET ÉLECTRONIQUE POUR PISTER CEUX QUI N’ONT PAS DE SMARTPHONE ?
– Pister plutôt que dépister, fliquer plutôt que protéger –
Le gouvernement envisage-t-il une surveillance numérique de masse ? Comme sur les autres sujets depuis le début de la crise sanitaire, rien ne parait certain, étant donné la gestion calamiteuse de la situation par le gouvernement, et ses mensonges incessants. Rien n’est certain, mais le pire est envisageable, comme le prouve chaque jour l’actualité. De récentes annonces ministérielles, proprement totalitaires, ont de quoi faire peur.
Le gouvernement envisage de lancer son application baptisée « StopCovid » dès le 11 mai, selon le secrétaire d’Etat chargé du Numérique. Cela voudrait dire que dès la semaine prochaine, des dizaines de millions de personnes seraient géolocalisées en temps réel depuis leurs téléphones. Le gouvernement est encore incapable de dire si cette mesure sera obligatoire ou pas, mais il semble décidé à instaurer cette expérimentation inédite.
Plus grave, dans une tribune publiée le 3 mai sur la plateforme Medium, Cédric O’, secrétaire chargé au Numérique écrit :
« S’agissant du projet StopCovid, l’équipe projet intègre depuis le début des spécialistes de l’accessibilité (personnes en situation de handicap ou peu habituées aux outils numériques). Pour ceux ne possédant pas de smartphone, une partie de l’équipe est dédié à essayer de trouver une autre solution — par exemple, un boîtier ou un bracelet qui permettraient de se passer des téléphones. »
Des bracelets électroniques sont donc bien à l’étude, de l’aveu même d’un secrétaire d’Etat, pour pister la population. Le monde devient peu à peu une prison géante.
Incapable de résoudre la crise sanitaire en soignant la population, incapable de fournir des masques et des tests, le gouvernement compte sur la répression et la surveillance de masse. Pister plutôt que dépister, fliquer plutôt que protéger.
—
La tribune de Cédric O : https://medium.com/@cedric.o/stopcovid-ou-encore-b5794d99bb12
Cerveaux non disponibles
JE SUIS MEDECIN, PAS FLIC ! �
« On nous demande contre quelques euros de vous fliquer » (Karim Khelfaoui, médecin révolté)
55€ pour un patient covid avec les données de sa famille. 2€ en plus pour obtenir les contacts au delà de la cellule familiale et 4€ si les informations permettent de joindre ces contacts supplémentaires. Bienvenue dans le fichage à la tâche qui sera demandé aux médecins après le confinement !
Mais cela n’est que la 1ère étape. Après, place aux brigades sanitaires : des salariés de l’Assurance Maladie qui auront accès à vos données médicales. Bye bye le secret médical ! Ces petits soldats seront chargés de faire la traque aux potentiels malades et d’enquêter en procédant par exemple à des interrogatoires téléphoniques.
3e étape : les Big Data ! Deux fichiers nationaux sont prévus. Le « Sidep » recensera les données biologiques des personnes positives au covid. Tandis que le « contact tracing » listera les personnes ayant côtoyées le malade. Toutes les personnes figurant dans ces fichiers seront « invitées » par les brigades sanitaires à se confiner.
Ces données sont prévues pour être gardées 1 an et seront disponibles à tout un tas de personnes en dehors du médecin. Une aubaine pour les GAFAM qui attendaient impatiemment de parfaire leur business du traçage grâce à la santé ! Ainsi, en France, Microsoft compte bien s’emparer d’une part du gâteau.
La firme propose ainsi son Health Data Hub au gouvernement. Une interface entre producteurs de données : nous, et utilisateurs de données : par exemple des chercheurs. Et demain qui sait… des entreprises privées, des assurances ou des mutuelles ! Une bonne raison de penser qu’après un an, il y aura une suite à ce qui sera sans aucun doute devenu un marché.
Nous voilà bien. Nous sommes la société qui aura inventé des applications de tracing dans la poche, qui aura transformé les médecins et l’assurance maladie en agent de la Stasi mais qui aura envoyé au front des soignants avec des masques périmés et laissé crever ses vieux loin des leurs dans des salles de réanimation ou dans des Ehpad moroses gérés par des fonds de pension cotés en bourse.
Il va falloir reprendre les choses en main et aller les dégagez !
Vidéo : Karim Khelfaoui (médecin généraliste et régulateur au Samu 13)
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Auto-amnistie préventive de la Macronie : technique du coup d’éponge – par Régis de Castelnau-LES CRISES
Nantes Révoltée
MACRON EST-IL D’EXTRÊME DROITE ?
Macron ne doit son pouvoir qu’à un sombre chantage : celui du « vote utile », du « barrage à l’extrême droite », du « moins pire ». Ces derniers mois, il multiplie sans complexe les clins d’œils à l’extrême droite, le dernier étant son soutien affiché à Eric Zemmour. 4 exemples récents :
Le 30 octobre 2019 : Macron invite dans son avion personnel des journalistes d’extrême droite : il accorde à l’hebdomadaire Valeurs Actuelles une interview exclusive. Lors de la discussion, il se lâche complètement, et sort des réflexions clairement Lepénistes. L’Élysée tente de rattraper le coup, mais les faits sont là : Macron reprend les idées de l’extrême droite, et choisit de leur offrir un coup de projecteur phénoménal.
Novembre 2019 : l’ancien dirigeant de l’Action Française Elie Hatem, nostalgique de Pétain et de la collaboration, adepte de Charles Maurras et de « l’antisémitisme d’Etat » est reçu en grande pompe à l’Elysée. Le militant pétainiste fait même un selfie avec le président et sa femme.
11 février 2020 : Macron intervient devant les députés de son parti. Il reprend les thématiques du Front National, « immigration », « insécurité », « séparatisme ». Pour appuyer la démonstration, il reprend à son compte une théorie de Charles Maurras, royaliste, pétainiste et dirigeant de l’Action Française : la distinction entre « pays légal » et « pays réel ». Une référence à peine voilée à l’extrême droite la plus réactionnaire.
1er Mai 2020 : Macron appelle pendant 45 minutes le chroniqueur d’extrême droite Zemmour, auteur de multiples discours racistes et condamné pour « provocation à la haine raciale », pour le « soutenir ». Macron n’a jamais appelé un soignant malade du COVID faute de protection, ni une victime de violences policières, ni une personne subissant la brutalité de ses politiques. Non, le président choisit de « soutenir » un idéologue fasciste, parce qu’il a été insulté dans la rue.
Depuis 3 ans, Macron installe méthodiquement un régime policier et ultra-libéral. Par ses paroles, par ses actes, par ses soutiens, il s’inscrit même résolument dans une filiation et un référentiel d’extrême droite.
Macron n’était évidemment pas un « barrage » au fascisme : il en est le propagateur.